jeudi 1 janvier 2015

Ostende, fin d'année


Ostende, en hiver, c'est la solitude des côtes bétonnées... l'affrontement du vent glacial sous ce ciel si bas, si bas... 


 ...si bas qu'on oublie même les canards qui s'y sont pendus.

Mais c'est aussi la fuite éperdue sur les digues quasi désertes et la prétention du casino à conquérir l'infini...




mais pour moi, la côte- même mutilée - reste une source d'inspiration et de poésie

a +


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